Oh!

Yuff

La clairière du calme est un endroi magnifique. Elle s'éttend sur des killomètres d'herbe douce et de calme. Autour de cette clairière ce trouve un grand bois tout aussi calme. Parfois, les animaux de ce bois viennent profiter du calme de la clairière. Le oiseaux virvoltent dans le ciel bleu sans nuage de la clairière. Seul leurs garouillemants brisent le silence.
Yuff, le coyote, marchait d'un pas lent et silencieux dans la clairière du calme. Ca aurait été un crime de briser ce silence, seul les oiseaux avaient ce droit. Yuff sentait sous ses coussinnets, l'herbe douce de la clairière. Elle n'était pas trop dur et piquante, mais douce comme de la mousse. A certains endrois, il y avait de grands partères de trefles ou des paquerettes. Yuff appréciait la beauté et le calme de la nature. Un couple d'oiseaux bleus passèrent devant so nez. Il les regarda avec attention, ce demandant si l'amour est un fardeaux ou un bonheur qu'il ne faut pas laisser passer. Les oiseaux continuèrent de voller en gazouillant, pui, ils partent au loins. Yuff enttend un petit bruit. Un bruit trés fin. Il regarda partout, de gauche à droite. Il aprcoit alor un cerf. LE prince des bois. Celui ci avance dans la clairière aussi silencieusement que possible. Le cerf regarda Yuff dun air inquiet. Mais Yuff n'était pas d'humeur à casser un tel silence. Il regarda le cerf marcher d'une marche royal. Tête haute, pointrail gouflé, allure rélévée... Tout était beau ici. Yuff continua sa marche et salonga sur un partère de paquerettes. Là, il s'endromi tendi qu'un papillion vien ce poser sous le bou de son nez.

Blade

À se moment, l grand cerf se figea, les oreilles pointées et la queue relever. Il tourna ses grands yeux bruns vers une silhouette plutôt lointaine. Un moment, le grand cervidé. Observa cette même silhouette, avant de faire demi-tour pour se lancer dans un grand galop énergique.

La silhouette qui l’avait tant effrayé ne leva la tête qu’un bref moment, pour observer la créature détaler vers la foret qui bordait la prairie. Amusé, Blade poussa un grondement, avant d’incliner à nouveau le museau vers un cerf bien plus jeune qui gisait à ses pattes. Sa gorge était tranchée et l’une de ses jambes était horriblement déchiré. Quand à son ventre, il était ouvert et le grand loup tricolore se faisait un plaisir de répandre sur le sol le sang chaud de sa proie. Le loup mordit dans le flanc de l’animal et lui arracha un morceau de chair assez généreux, qu’il déchira et avala rapidement. Son museau, ses pattes et son poitrail étaient couverts du sang frais du cerf.
Blade n’avait pas remarqué le coyote, qui s’était allongé plus loin. Il ne l’avait pas senti non plus, l’odeur du sang du cerf étant trop forte. Le grand loup passa un coup de langue sur son museau avant d’étirer les pattes. Puis, il s’allongea contre la proie, coinça ses épaules entre ses propres pattes et planta fermement les crocs dans la jambe du cervidé. Il contracta les muscles et donna un coup brusque, coup qui déchira la chair et les muscles, et qui brisa l’os de la bête. Du coup, la patte se trouvait séparer du corps de son ancien porteur.

Blade

[Upidou?]

Yuff

Yuff ce réveilla un peut plus tard. Quand il ouvris ses grands yeux clairs, le papillion s'envolla dans les airs. Décrivant ses cercles en ce dirigant ver le soleil. Yuff l'observa longtemps. Puis il ce releva. Il commenca une marche un peut désordonné pas le manque de bruit. Il humma l'air et stopa net. Une odeur forte de sang lui piquait le nez. Il huma de nouveau. Du sang de cerf. Un trés jeune cerf. Yuff repenssa au cerf qu'il avait vut avant de dromire. Ca ne pouvait être lui, il était trop vieu... peut être un de ses fils. Il tounra sa tête de gauche à droite et ne vis rien. En réalité, le loup tricolore qui ce régalait était bien trop loins pour que Yuff puisse l'apercevoir. Yuff humma l'air de nouveau. Peut être, avec un peut de chance, que la poie a été imbandonnée et là, Yuff ce régalerait! Sette idée, qui le fesait bavé, en tête, il ce mis à trottiner vers le haut de la clairière. Plus il marchait, plus cette odeur délicieuse lui chatouillé le nez. Enfin assé pret. Il vis deux silouhette. Une imobile, et l'aute actif! Il fronca les sourcils et vis un grand loup tricolore occupé à déchiqueté un petit cerf. S'était donc d'ici que venait le bon parfun du sang. Yuff ce coucha au sol pour ne pas ce faire remarquer. Il observait le loup déchiqueté sa proie.

Blade

Blade s’allongea par dessus sa proie, le ventre en plein sur le flanc du jeune cerf. Il avait coincé la jambe du cervidé entre ses propres pattes et commençait à en gruger la chair tendre. Il en arrachait plusieurs morceaux et les avalait rapidement, sans prendre la peine de mâcher. Peu à peu, il sentait son estomac se remplir et la faim qui l’avait tenaillé, quelques heures plus tôt, commençait à disparaître.
Lorsque la jambe ne fut plus qu’un os couvert de marques de crocs, le loup tricolore se leva et rapprocha son museau du ventre du cervidé, sans pour autant lui toucher. Il huma un moment le corps sans vie, avant de relever les oreilles. Non, cette odeur de coyote ne venait pas de la proie… Lorsqu’il avait repéré l’odeur, Blade avait cru que le cerf aurait pu avoir une confrontation avec l’un de ces charognards, un peu plus tôt, mais l’odeur ne venait pas du cerf. Le grand loup se raidit et hérissa la fourrure de son échine avant de chercher autour de lui du regard. Les coyotes étaient réputés pour leurs talents de voleurs, aussi Blade préférait se méfier, car il n’avait pas spécialement envi de se faire piquer son dîner, qu’il n’avait obtenu qu’après une longue chasse. Mais comme l’animal ne semblait pas décider à s’approcher, le loup tricolore se remis à manger. Il restait pourtant en alerte.

Yuff

Yuff, bien caché derrière les hautes herbes de la clarrière écoutait, avec envis, les crocs du loup tricolore claqua en machant rapidement sa viande fraiche. Le loup tricolore avait tout le nez, la geule, le poitrail et ses pattes avant coufer de sang. Sette odeur réveilla les instin charoniard de Yuff qui salivait en silence.
Plus les minutes passaient, plus la jambe du jeune cerf qui était aragée devien un gros os. Jamais le jeune coyote ne vis un loup avec un si gros hapétit! Il avait manché toute le chair, les muscles! Yuff ce lécha les babines. Ayyendant que le loup s'loigne.
Yuff frissonna quand le loup tricolore leva sa tête pour observer les alentours. Il avait senti Yuff. Les yeux blancs du loup ballaya les environs comme des rayons lassaires. Yuff s'aplati encor plus contre le sol mais il été déja a son maximun.
Un peut plus loins, ver la forêt le même cerf que la dernièrre foi revesait surface. Yuff avait envis de manger de la bonne viande fraiche mais il ne saouitait pas devoir courrir aprés son diné. Plus tôt attendre que le loup est fini de ce rassasier. Yuff eu, a ce moment, une idée subtile pour gaghner le trophé du loup tricolore. Il ce releva de sa cachette et ce mis à courir aprés le cerf, la bète affolé filla à toute allure en pouussant des cris.

Blade

Blade était resté très tendu après la découverte de la présence du coyote. Il s’était mis à avaler plus lentement en prenant soin de ne pas quitter le charognard de l’œil. Celui-ci semblait particulièrement intéresser par la proie que le grand loup avait abattu, se qui ne faisait qu’agrandir cette méfiance. Alors que le canidé s’élançait hors de sa cachette, le grand loup sursauta et fit un pas en avant la fourrure de son dos hérisser.

Mais Yuff ne semblait plus aussi intéresser par la proie, car il fonçait à présent droit vers un second cerf, plus grand et avec d’assez longs bois. Blade afficha un air amuser mais, en constatant la vitesse assez alarmante à laquelle courait le charognard, il pris la précautions de poser les deux pattes avant sur le flanc de sa proie, pour s’assurer que le chacal ne tenterait pas de s’emparer d’un morceau au passage. À vrai dire, le loup tricolore n’avait plus très faim, mais il refusait de laisser le charognard piquer sa proie. Si la sale bestiole aurait l’occasion d’enfouir son museau dans l’estomac de SA proie, se serait parce qu’il l,’aurait abandonner là.

Le loup tricolore recourba le dos et hérissa sa fourrure terne, en simple avertissement pour le coyote, qu’il suivait toujours des yeux.

Yuff

Yuff ne savait pas chasser. Il avait un pouvoir de vitesse mais ne le controlait pas trés bien il ne luié tait donc d'auqune utilité. Le cerf, devant le jeune coyote, courait à toute allure galopant à travers les herbes. Yuff ne savait pas qu'oi faire il ne savait pas encor qu'un cerf de sette taille était assé dangereux pour un coyote peut expérimenté de plus, les coyote ne son pas réputé pour la chasse. Yuff ce r'approchait du grand cerf. Il allentait. Sa langue pendait de sa bouche lui léchant le joue poussé par le vent provoqué par la vitesse. Le cerf était qu'a deux mètres de Yuff mais il ne savait pas comment réagire. Un peu n'importe comment, il sauta dessus mordant sa groupe mais le cerf rua et entama un rodéo, Yuff lacha prise retomhant lourdement sur le dos. Il ce secoua et repartie à la poursuite de sa proie.

Blade

Blade suivait la chasse de l’œil, tout en mâchonnant sans grande conviction un morceau de chair arracher à sa proie. Voir le coyote sauter sur le dos de cerf puis être renvoyer au sol lui avait arraché un sourire amuser. Il était rapide, certes, mais sa ne servirait probablement pas face à un tel adversaire. Même les loups devaient se mettre en meute pour parvenir à abattre un cerf mâle adulte.

Le loup tricolore vit alors la proie changer de direction et foncer droit vers lui. Aussitôt, il se hérissa et bondit sur ses pattes, dresser sur le cadavre de sa proie. Alors, il releva la tête et poussa un grand grondement, que le cerf perçu. Il fixa un moment le loup avant de changer de trajectoire.

Yuff

Yuff ne savait pas vrément quoi faire. Il "galopai" en tout sens dans la clarrière. Il avait fain, il avait deux chois : chiper la proie du loup tricolore, mais le loup, ne ce lmaisserait certainement pas faire OU tuer le grand cerf mais Yuff n'y parvenait pas. Voir le regard amusé du loup tricolore l'amusa aussi et il continua de courrir en tous sens. Partout et nulle part. Bientôt, il fut fatigué, il haletait, langue pendante. Il ce coucha par terre tout en fixant le grand loup du regard.
Le loup lui, prennait garde de laisser ses pattes sur la cadavres de sa proie. Il arachait soigneusement de la chair et la mastiquait lentement. Yuff lui ce léchait babines en bavait d'envis. Comme il avait fain! Son estoma gargouillait ou pouvait le confondre au tonerre.

Blade

Après un moment, le coyote abandonna sa proie et se mis simplement à courir en tout sens. Le grand cerf s’éloigna rapidement et disparu dans l’ombre des arbres. Blade avala un dernier morceau de chair, mais senti bien qu’aucun autre ne passerait. Alors enfin, il recula de quelques pas et commença à s’éloigner de la carcasse, l’abandonnant aux bons soins de Yuff. Le coyote avait été un bon divertissement pour le grand loup, alors autant le récompenser un peu…
Le loup tricolore était déjà plutôt loin de la proie et tourna la tête, pour voir si le coyote s’était déjà précipiter sur le cerf mort.

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